Ce spécial s’articule autour de
plusieurs axes, dont notamment les relations économiques et commerciales
Chine-Afrique, la contribution du secteur public dans le développement,
l’intégrité du climat des affaires, les prix des matières premières, ainsi que
le plan d’accélération industrielle, a indiqué un communiqué du CMC.
Ainsi, le nouveau numéro révèle que
les mesures mises en place à travers le monde pour juguler la propagation du
virus ont été à l’origine du ralentissement, sans précédent, de l’activité
économique, expliquant que cette situation a provoqué un choc à la fois sur
l’offre et la demande ce qui a fortement pesé sur la croissance, les prix, le
commerce, la finance et les conditions de vie des ménages.
Dans ce contexte perturbé les
fondamentaux des économies se sont sérieusement détériorés en 2020, note le
CMC, précisant que l’année 2021 a été caractérisée à la fois par une reprise de
l’activité en dépit de la persistance de la pandémie et par une hausse
quasi-généralisée des prix des matières premières et de l’énergie qui alimente
l’inflation.
Par ailleurs, le Centre aborde, dans
l’axe relatif au Plan d’accélération industrielle (PAI), la reconfiguration du
tissu économique au plan interne et les transformations que connaissent les
chaînes de valeurs à l’échelon mondial, soulignant l’apparition de nouvelles
opportunités pour un meilleur positionnement du secteur industriel tant en ce
qui concerne le marché local que les marchés d’exportation.
Sur le plan de l’intégrité du climat
des affaires, le CMC préconise, pour son émancipation, une probité
institutionnelle associée et un potentiel territorial attractif, ajoutant, à ce
titre, que le Maroc n’a pas cessé, depuis le crépuscule du siècle dernier, de
multiplier les mesures et les programmes d’incitation pour intéresser
l’investissement exportateur, particulièrement celui qualifié de direct
étranger (IDE).