«Avec un taux apparent se situant à 28,7 %, le Maroc se
classe parmi les pays en développement à forte pression fiscale», déduit le
CMC. La restructuration de l’impôt engagée depuis plus de trois décennies a
engendré un glissement sensible de la fiscalité de la consommation vers la
fiscalité sur le capital et le travail. Les estimations effectuées à ce sujet
montrent que le taux d’impôt implicite du facteur travail a gagné près de 10
points en l’espace d’une quinzaine d’années, contre 3,2 points pour le facteur
capital.
La pression fiscale sur les ménages s’accentue !
La progression soutenue des prélèvements obligatoires au cours des 10 dernières années a induit une forte pression fiscale sur les contribuables, entreprises et ménages. Dixit, le Centre marocain de Conjoncture (CMC).
Source : L'initiative
Posté Le : Mardi 14 mai 2019
Posté Le : Mardi 14 mai 2019