Il
en ressort qu’un peu plus de 85% des participants considèrent les nouvelles
technologies de l’information (NTI) prioritaires. 51% des enquêtés jugent que
le numérique est entièrement incorporé dans leur modèle d’affaires, contre un
peu moins de 5% qui indiquent que cette incorporation est faible.
56%
des patrons pensent que leurs entreprises ne sont que moyennement outillées en
NTI. Presque 27% des sondés déclarent que le niveau d’utilisation des NTI dans
leurs secteurs d’activité est assez avancé. La transformation digitale reste
faible pour 12,2% des enquêtés. Cette investigation montre aussi que trois
quarts des sondés estiment que la vitesse de propagation des NTI est rapide.
De
nombreux facteurs limitent les investissements des entreprises dans le domaine
des NTI, selon les industriels. Il s’agit notamment des moyens financiers
(27%), du manque de personnel qualifié (36,1%) et de l’insuffisance du
savoir-faire (25%).
Les
domaines sur lesquels il faut agir pour faire face au défi de la transformation
numérique sont le niveau de la connectivité pour 63,4% des sondés, le
développement de l’administration (78%%), le développement des services (75 %),
l’amélioration de l’offre de formation (68,3%) et le coût de la digitalisation
(56,1%).
Interrogés
sur la stratégie «Maroc Numeric», 92,7% des sondés ne la trouvent pas
suffisamment en phase pour répondre aux nouvelles exigences de transformation
numérique.
A
noter que le CMC ne fournit pas la taille de l'échantillon auprès duquel le
sondage a été mené.